Solos et Duos
Elia Cohen-Weissert, violoncelle
Josquin Otal, piano
Lauréats du Prix International Pro Musicis 2021
” Ode à l’amour ”
Ludwig van Beethoven
7 variations sur un thème de Mozart
“Bei Männern welche Liebe fühlen” “Chez les hommes qui sont amoureux…”
W.A. Mozart Pamina: “Ach ich fühl’s” … (La flûte enchantée)
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Schubert – F. Liszt “Aufenthalt” (Séjour)
Der Müller und der Bach (le meunier et le ruisseau )piano solo
Gioacchino Rossini Thème et variations “Une larme”
Nadia Boulanger 3 pièces pour violoncelle et piano
Felix Mendelssohn
Sonate n°2 op. 58 Allegro assai vivace – Allegretto scherzando – Adagio – Fínale
DEUX CONCERTS DE PARTAGE POUR CHAQUE CONCERT PUBLIC
“Un DUO très musicien, poète et virtuose, qui a fait sensation, obtenant l’unanimité du Jury 2021 et des spectateurs”. Pro Musicis
“Lauréate de nombreux concours internationaux, la violoncelliste israélienne Elia Cohen Weissert s’est imposée comme une jeune artiste passionnante, louangée pour sa technique parfaite, son son chaud et très personnel”.
1er Prix au prestigieux concours international “Guilhermina Suggia” à Porto, 2ème Prix au concours international “Antonio Janigro” à Zagreb, Prix Landgraf von Hessen à la Kronberg Academy 2018, Elia Cohen Weissert se produit régulièrement en Europe, ainsi qu’en Israël et aux Etats-Unis, dans des festivals renommés tels le festival de Verbier, le festival de violoncelle de Kronberg, festival Chopin, etc. et en de grandes salles : Philharmonie de Berlin, salle Smetana à Prague, salles Flagey et Bozar à Bruxelles, conservatoire de Bruxelles, Théâtre de Jérusalem, auditorium Bronfman à Tel Aviv, Salle Lisinski à Zagreb, Casa da Musica à Porto.
En soliste elle se produit avec les Orchestres : Symphonique de Jérusalem et Philharmonique d’Israël, l’Orchestre radiophonique Croate, l’Orchestre national de Belgique, l’Orchestre de chambre de Wallonie, l’Orchestre philharmonique tchèque et l’Orchestre symphonique de Porto avec des chefs tels que Christian Zacharias, Franck Braley et Toby Hoffman. Chambriste passionnée, Elia collabore régulièrement avec son frère et pianiste Michael Cohen Weissert, Josquin Otal, Philippe Graffin, Michael Gutman, Miguel da Silva et Maxim Vengerov. Elle est également membre du Quatuor Mona, fondé en 2018.
Depuis fin 2016, Elia étudie à la Chapelle musicale Reine-Elizabeth et depuis septembre 2018, Elia étudie le chant au Conservatoire Royal de Bruxelles.
“Josquin Otal est un pianiste qui a un jeu absolument parfait. C’est tout à fait étonnant cette aisance, cette facilité avec laquelle il aborde des répertoires très complexes. C’est quelqu’un qui peut donner beaucoup d’éclat à son jeu, c’est un poète”. Philippe Cassard après avoir entendu Josquin Otal dans le 3ème concerto de Prokofiev et “Gaspard de la Nuit” de Ravel.
Né en 1992, Josquin Otal étudie avec Hervé Billaut au CRR de Lyon et Bruno Rigutto au CRR de Marseille puis à la Schola Cantorum. Au CNSMDP il obtient son Master, classe de Denis Pascal, puis en 3ème cycle (Diplôme d’artiste interprète). Depuis 2016, il est artiste en résidence à la Chapelle Musicale Reine Elisabeth avec Louis Lortie et Avedis Kouyoumdjian et a suivi les master-classes de personnalités telles J.C. Pennetier, Arie Vardi, Akiko Ebi, Laurent Cabasso, Jacques Rouvier, Peter Frankl.
Lauréat des Concours International de Rhodes et de Washington, 3ème Prix au Concours Piano Campus en 2014, Grand Prix Alain Marinaro, “Révélation classique de l’Adami” en 2015, il se produit régulièrement au Festival Chopin, au Festival de Prades, au Théâtre des Bouffes du Nord, à l’Opéra Garnier, au Festival de Nohant, à la Philharmonie de Paris, aux Chorégies d’Orange, au Théâtre du Châtelet, au Théâtre d’Angoulême, Auditorium Rainier III Monte Carlo au, Red Theater d’Abou Dabi, et à la Salle Bourgie de Montréal. Avec orchestre, c’est sous la baguette de Philippe Aiche, Franck Braley, Victorien Vanoosten, Marius Stieghorst, etc.… qu’il a interprété des concertos de Bach, Mozart, Beethoven, Liszt, Chopin, Rachmaninov, Prokofiev, Hermann, Neuburger.
En 2018 paraît son 1er CD (Label Printemps des arts de Monte-Carlo). “Il se glisse avec finesse dans la Sonate de Reubke alternant la démesure à la prière, ne s’emportant jamais trop, chantant toujours, tenant ses phrases jusqu’au bout. Il aborde la Sonate de Liszt de façon plus intelligente et analytique que dramatique et grandiose, toujours juste dans l’expression du moment.” Alain Lompech (Diapason)