Elsa Grether, violon, Prix International 2009
« … Elle a alors convaincu le public comme elle m’avait convaincu moi-même de son réel talent, de l’implication profonde qu’elle met dans son jeu, très habité en même temps que parfaitement maîtrisé sur le plan technique. C’est ce que j’aime chez une telle artiste, l’alliance de la maîtrise et de la liberté au service d’une pensée ardente de la musique. »Alain Duault (2009)
» A une profonde musicalité, une rare hauteur de vue et une grande intelligence, Elsa Grether unit la technique la plus achevée et un professionnalisme sans faille » Pascal Ianco, Le Chant du Monde (2009)
Elsa Grether, née à Mulhouse, obtient un Premier Prix de violon à l’unanimité du jury au CNR de Paris le jour de ses quinze ans. Poussée par une grande curiosité, elle poursuit sa formation à l’étranger, au Mozarteum de Salzbourg avec Ruggiero Ricci, puis aux Etats-Unis avec Mauricio Fuks à l’Université de Bloomington et Donald Weilerstein au New England Conservatory de Boston. Elle bénéficie aussi des conseils de Régis Pasquier à Paris.
Elle est Lauréate, à l’unanimité du Jury avec Delphine Bardin du Prix international Pro Musicis 2009, ainsi que de diverses fondations: Safran pour la musique, Prix Oulmont (Fondation de France), Natixis-Banque Populaire, Cziffra, Fondation pour la Vocation. Depuis 2005, est soutenue par l’Ajam. En 1993, elle est lauréate du Concours des Jeunes solistes organisé par la RTBF de Bruxelles (1er Prix de sa catégorie d’âge).
Alain Duault lui a consacré une émission dans « Toute la musique qu’ils aiment » (France 3) et elle a été invitée à diverses reprises sur France Musique et France Culture.
En soliste avec orchestre, elle a interprété de nombreux concertos (Bach, Vivaldi, Mozart, Haydn, Beethoven, Bruch, Brahms, Tchaïkovski, Chébaline, Dvorak, Prokofiev, Tzigane de Ravel…) Elle a donné de nombreux récitals en France et à l’étranger (récemment au Printemps des arts de Monte-Carlo, Festival de Menton, Salle Cortot à Paris, Festival Musica à Strasbourg, Bozar de Bruxelles, Avery Fisher Hall de New York, Chicago Myra Hess concert series, Alger Radio Nationale, Salzbourg Schloss Mirabell, Santander Palais des Festivals…).
En février 2012, sous l’égide du Prix Pro Musicis, elle est invitée avec Delphine Bardin à donner des récitals à New York (Carnegie Weill Hall) et Boston. Ses prochains concerts la mèneront à Venise au Palazzetto Bru-Zane, en Suisse à la Radio Suisse Romande et au Festival Cully classique, en France au Festival des Forêts, Lille Clef de Soleil, Saoû chante Mozart, en Belgique notamment au Bozar de Bruxelles, Festival de Stavelot, Ostbelgien Festival, Midis-Minimes, Scène Nationale de Martinique.
Elle collabore régulièrement avec les pianistes Ferenc Vizi, Delphine Bardin, Eliane Reyes ainsi qu’avec Régis Pasquier, Marielle Nordmann, Pascal Contet… Egalement intéressée par l’enseignement, elle est titulaire du CA.
Elle prépare un CD pour le label Fuga Libera/Harmonia Mundi.
Pour écouter des extraits :
« La musique donne forme à l’instant.
Il faut s’oublier jusqu’à « devenir » la musique que l’on joue.
Le jeu, le son sont le miroir de l’âme,
c’est pourquoi je cherche humblement,
encore et encore, à atteindre…
mon inaccessible étoile »
Elsa.
ELSA GRETHER – Extraits Presse
Récital violon solo au Festival de Sagonne Le Berry républicain, 01/09/2011
Le talent enchanteur d’Elsa Grether « Elsa Grether a fait l’unanimité » »A travers ce programme d’une rare intensité (…) l’artiste a montré toute l’étendue de son immense talent, sans jamais céder à la tentation de la virtuosité gratuite. Par la magie de son exceptionnelle musicalité et par son contact simple et chaleureux fait de gentillesse et simplicité, Elsa Grether a conquis le nombreux public présent. »
Festival de Menton (Récital avec Ferenc Vizi) Nice Matin, 12 aout 2011 André Peyrègne
Festival: un refuge de valeurs sûres » …leur duo, on l’a entendu hier. Interprétation très inspirée de la sonate « Le Printemps » de Beethoven. Approche toute en finesse de celle de Ravel. Présentation pleine d’autorité du Tzigane du même Ravel. Ce duo a de beaux jours devant lui. »
Festival « Concerts de Vollore » (Récital avec Eliane Reyes) (Œuvres de Dubois, Pierné, La Tombelle, Franck) La Montagne, 18 juillet 2011
Virtuosité et romantisme… »Le talent exceptionnel des interprètes, la sonorité somptueuse et la virtuosité du violon, le toucher subtil, la puissance et le brio du piano, ont enthousiasmé le public, fasciné par l’entente idéale et la sensibilité de ce duo au service d’oeuvres passionnantes. »
Printemps des arts de Monte-Carlo, Nuit du violon, 2 avril 2011 :
L’Osservatore Romano (6 avril), Marcello Filotei : « Deux pièces du XXe siècle étaient au contraire confiées à la très jeune et très douée Elsa Grether, la Sonate n°3 d’Eugène Ysaÿe et Métal-Terre-Eau de Ton That Thiêt, compositeur vietnamien né en 1933, qui a écrit une série d’œuvres très évocatrices sur les cinq éléments.La jeune femme de Mulhouse parcourt le monde, accompagnée de son talent exceptionnel et d’un violon de Carlo Ferdinando Landolfi datant de 1746. Quelle déception de ne pas l’avoir écoutée dans la Partita n°I de Bach qu’elle a exécutée sur l’autre scène…»
Printemps des Arts de Monte-Carlo, Nuit du violon du 2/04/2011 :
La Lettre du Musicien, C.Rochefort « Partita no.1 de Bach par la jeune Elsa Grether, élégante, intime… »
Récital pour violon seul, Lorentzen DNA, 01.08.2011 M.-TH.D
Étincelante virtuosité ! Dans le cadre de la 50 e saison musicale de l’Ajam (Amis des jeunes artistes musiciens), la violoniste Elsa Grether a donné samedi un récital impressionnant à la salle Stengel.
À Lorentzen, Elsa Grether était invitée par la communauté de communes d’Alsace Bossue. Dans son répertoire éclectique, l’artiste fait côtoyer des extraits d’œuvres classiques et des compositions contemporaines. Jouant avec aisance et fluidité la Chaconne de Johann Sébastian Bach, extraite de la Partita n°2 en ré mineur, elle parvient à exprimer l’âme de la partition avec une grande sensibilité. L’interprétation toute en nuances résulte de l’alchimie de la technique et d’une belle expression artistique.
En attaquant Métal-Terre-Eau du Vietnamien Tôn-That Tiet, Elsa Grether déploie un jeu parfaitement maîtrisé. Dans une éblouissante virtuosité, elle alterne harmonisation, silence et entre-chocs sonores. Les notes mettent en lumière la densité musicale de l’œuvre.
Pour violon seul
Avec la Sonate-monologue pour violon seul du compositeur arménien Aram Khatchaturian, elle traduit parfaitement l’intensité des sonorités, des rythmes et des harmonies colorées de la pièce.
La dernière partie du récital faisait la part belle à la sonate n° 3 du musicien et pédagogue Eugène Ysaÿe. La ballade pour violon seul, chef-d’œuvre de créativité et d’inspiration, a mis en valeur les capacités techniques de l’interprète et les possibilités polyphoniques de l’instrument. L’auditoire, sous le charme, était conscient de vivre un moment privilégié.
Concerto de Max Bruch avec l’Orchestre symphonique de Mulhouse, direction Benjamin Pionnier, Théâtre de la Sinne :
« Classique conventionnel, mais exceptionnel »
« …Et pourtant, ces œuvres plutôt conventionnelles ont été transcendées. La première, par la personnalité de la Mulhousienne Elsa Grether, une artiste émouvante qui a su tirer tous les effets d’une partition qui fait partie des œuvres obligées pour violon. Sans jamais tomber dans le pathos, sachant à un suprême degré moduler les moindre intentions, jouant avec autant d’aisance les passages techniques et les transitions, elle a élaboré un chef-d’œuvre d’interprétation.» ( J-C.O., L’Alsace, article du 25 Juin 2008).
Concerto de Beethoven avec la Philharmonie de Strasbourg, direction Etienne Bardon, Château des Rohan de Saverne : (DNA, 2 mars 2011)
« Elsa Grether, un Beethoven tout en virtuosité et poésie. Elsa Grether s’est coulée facilement dans l’écrin léger développé par le chef. Orchestre et soliste s’opposent rarement dans cette œuvre, la soliste explicite le discours orchestral et y semble subordonner ses dons naturels de virtuose. Dans ce dialogue, son Landolfi de 1746 sonne merveilleusement pour la plus belle des émotions. Public et orchestre fêtèrent justement l’instrumentiste… Pour Elsa Grether, cela semble bien parti, elle qui avec Delphine Bardin, pianiste, se produira dans quelques mois au Carnegie Hall de New-York. »
Concerto no. 1 de Prokoviev avec l’Orchestre symphonique de Mulhouse, direction Cyril Diederich, à la Filature : « La Filature n’a d’yeux que pour Elsa » « …il sera difficile, à l’avenir, d’entendre le Concerto pour violon n°1 de Prokofiev sans songer à Elsa Grether : 17 ans seulement,et déjà tout le bagage d’une virtuose accomplie !
…la jeune violoniste s’est tranquillement imposée dans ce concerto difficile…tirant de son « Bernardel » du siècle dernier des sonorités constamment pures, cohérentes et chaleureuses.
…elle se montre tout aussi convaincante lorsqu’elle « s’émancipe »: son bis-la virtuose «Ballade » d’Eugène Ysaye l’a brillamment confirmé à un public définitivement séduit. » DNA, Denis Lustenberger (1997) (même programme, Concerto no.1 de Prokofiev) :
«Le beau violon d’Elsa »
« La dimension musicale du concert lui venait du concours de la jeune violoniste Elsa Grether qui, a montré ce soir-là qu’elle est sans doute à l’orée d’une grande carrière. (…)Non seulement elle en domine tous les artifices techniques avec une étonnante maîtrise de la première à la dernière note, mais dès le premier thème d’une intense poésie lyrique,elle fait chanter son bel instrument avec une musicalité soutenue tout au long des trois mouvements. Follement acclamée, Elsa Grether a, comme en se jouant, donné en bis la 3e sonate d’Eugène Ysaye. »
L’Alsace, J. Mona (1997)
Concerto de J.Brahms avec « La Philharmonie » de Strasbourg, direction Etienne Bardon, Palais des Fêtes de Strasbourg:
« …On attendait avec curiosité l’apparition d’Elsa Grether dans le Concerto pour violon de Brahms. Ce n’est pas le plus commode, ni au point de vue technique, ni au point de vue de son combat –concertare – avec l’orchestre. Et on est heureux de pouvoir tirer un grand coup de chapeau à la jeune violoniste mulhousienne : elle n’a pas déçu, bien au contraire elle a confirmé les espoirs mis en elle. Sans esbroufe, avec l’assurance d’une solide technique elle a détaillé cette œuvre avec une belle musicalité. Musicalité qu’un bis, tiré d’une sonate de Bach, a par ailleurs confirmé. ». ( Gabriel Andrès, L’Ami Hebdo, 15 Juin 2008)
Récital du 5/04/2011 avec Delphine Bardin à Avignon, Auditorium du Thor, (sous l’égide de Pro Musicis):
« Les Vauclusiens ont la chance inespérée de pouvoir découvrir, en avant-première, des artistes tout frais, jeunes professionnels qui ne devraient pas tarder à être accueillis sur la scène de l’opéra-théâtre d’Avignon ou d’autres maisons de même type. Surtout quand ces artistes ont le talent de Delphine Bardin et Elsa Grether. L’une a le toucher véloce et velouté, souple et léger, expressif et délicat, comme un effleurement magique ; l’autre a un archet précis et fin, des attaques volontaires, une musicalité à la fois aérienne et profonde, naviguant avec bonheur entre legato et pizzicato. Le programme choisi mettait parfaitement en lumière la richesse d’expression de chacune des interprètes, leur sensibilité propre, et la parfaite réussite de leur duo. On aura plaisir à suivre leurs progrès mérités dans le monde musical, tant scénique que discographique (déjà concrétisé pour Delphine Bardin, en projet bien avancé pour Elsa Grether) ». G. De Wulff, Classiqueenprovence.fr
Récital du 30/03/2010 avec Delphine Bardin, Temple St Etienne Mulhouse : « La sensibilité et le sens de la nuance d’Elsa Grether ont fait merveille. Enfermée dans son monde, elle exprime l’âme de la partition avec une douceur ferme. (…) La fusion des deux talents est une osmose plutôt que l’adjonction d’une voix à une autre. Et naît, tout à coup, palpitant, le monde du rêve. » L’Alsace, J-C O.
Festival de Colmar, Duo de Ravel avec le violoncelliste Christophor Miroshnikov, le 6/07/2010) :
« Après un 1er mouvement, dont Elsa Grether au violon sut dégager des inflexions d’une générosité aussi irrésistible que son sourire(…) le moment fort de cette première partie fut le 3e mouvement. Dans cette noble cantilène qui finit par s’exaspérer en pure rage, les deux protagonistes s’emparèrent du matériau thématique à leur manière. Le résultat fut magique malgré, voire en raison, de cette hétérogénéité, miracle d’écoute mutuelle, qui s’est transformée en complicité amusée dans les tours de passe-passe techniques du final. » DNA, Gilles Toussaint
Récital au Festival Franz Liszt de Munster :
« Découverte d’une étoile » « Quand un astronome découvre en pleine nuit une étoile venant de naître, il se rend bien vte compte qu’il est en train de vivre un moment exceptionnel. A peine quelques notes égrenées, vendredi soir au festival F.Liszt de Munster, et les auditeurs ont eu cette même sensation de jubilation. Etoile décrochée au firmament par la main heureuse d’Eric le Van, la violoniste Elsa Grether a donné toute la mesure de son talent. Bardée d’un jeu sensible à vous donner la chair de poule, la jeune Mulhousienne a fait de cette soirée un grand moment….
Les deux interprètes se sont plongés dans des reliefs extrêmes, rendant Schumann, avec la « Sonate en la mineur » op. 105 terriblement bouleversant. Elle a été abordée avec une sobriété impressionnante, rendant superbement son dépouillement et son désespoir, reflets d’une âme torturée.(…) La « Sonate en ré mineur »op.108, là où tout Brahms est condensé, a été à elle seule une apothéose…Piano et violon ont touché à la perfection.
Pablo de Sarasate avec ses airs bohémiens a achevé d’émerveiller l’auditoire.(…)
Ravis, comblés, les auditeurs ont pu découvrir une artiste qui a su garder sa poésie juvénile et son humilité. Certes sa maturité est spectaculaire, mais elle a su préserver son âme intacte. » L’Alsace, Michel Schuller. (1999)
Tournée de sept récitals AJAM, novembre 2006, récital au Château des Rohan de Saverne avec le pianiste Julien Gernay :
« Un duo de charme »
« Dans ces œuvres où le violon est roi et brille de mille feux, Elsa Grether a fait montre de sa technique irréprochable et de sa musicalité…Là encore, la belle entente des deux protagonistes a fait merveille. » Les Dernières Nouvelles d’Alsace
Festival Cziffra : « Des virtuoses en parfaite symbiose » (Récital avec Guillaume Coppola, piano) « …Que dire de la sonate pour violon seul n.3, opus 27 composée par Ysaÿe et qu’Elsa Grether a interprétée avec une incontestable pureté…Les deux pieds bien campés sur le sol, comme pour mieux s’appuyer sur une terre que les notes égrenées par son inséparable violon risquaient de lui faire quitter l’espace d’un instant. Un instant que le public a pieusement accueilli, comme un moment inoubliable, presque hors du temps… » Tribune Le Progrès, Noura Mebtouche.
Concerto de Tchaïkovsky avec le Collegium Musicum, direction J. Sosinski: « Elsa Grether et le Collegium Musicum : grandiose »
Elsa a la technique et la musicalité,elle fait vibrer tout au long de cette œuvre.La canzonetta centrale est une très belle page mélodique qui ne manque pas de transporter le public en entendant la soliste « chanter »sur son violon ce thème nostalgique …un triomphe bien mérité. » L’Alsace, C.L.
Concerto de Dvorak, même orchestre :
« Le violon magique d’Elsa Grether »
« Dès les premières notes sorties de son violon, on tombe sous le charme de cette jeune fille frêle. Mais qu’on ne s’y méprenne pas : ses coups d’archet sont d’une rare force et d’une grande justesse…Le public, subjugué par la finesse du jeu de la soliste et par l’ensemble orchestral, a laissé éclater sa joie par une standing ovation qui ne s’est arrêtée que lorsque la soliste a rejoué le final du deuxième mouvement en bis et aussi celui du dernier mouvement. » L’Alsace, MN.
Récital au Festival Poly-Sons à Colmar :
« Le classicisme de Beethoven est respecté avec élégance, le lyrisme et la profondeur de Brahms sont présents à chaque instant. La mobilité de l’archet n’est plus technique mais traduit merveilleusement l’émotion intérieure. Une émotion venant du cœur, faisant place le plus souvent à l’humilité.
La suite avec Prokofiev, la « sonate n° 2 » en Ré Majeur…traduit un engagement physique bien maîtrisé se muant superbement dans le mordant. L’arrangement de Nathan Milstein d’un nocturne de Chopin, mit fin à cette époustouflante deuxième partie.
Joie et bonheur se lisaient sur le visage de l’artiste. Furent-ils la traduction de son talent ? Le public n’en doute à aucun moment, conquis par autant de spontanéité. » L’Alsace, M.S.
« Vivant véritablement son violon, Elsa Grether donnait ce soir-là une interprétation d’une grande générosité. Inspiré , techniquement pur, le jeu de l’adolescente traduisait une indéniable maturité doublée d’une force insoupçonnable chez une artiste fragile et timide. A n’en plus douter, une valeur sûre pour le violon de demain. » DNA, F.S.
Récital avec la pianiste Yuko Momo Shinohara au Théâtre de Mulhouse : « Connivences d’artistes »
« Avec la Fantaisie en Ut Majeur de Schubert, on a ouvert la porte à la magie. On ne peut imaginer plus beau son sortant d’un violon, plus belles phrases de piano ornant une mélodieLe duo a fonctionné à merveille…la connivence s’est faite intimité dans un jeu proche de la perfection. » L’Alsace, J.C.
Concert Trio Agapé : « …Elles sont trois, formant le Trio Agapé. Invitées de l’AJAM, elles tiennent pleinement les promesses de leur nom convivial. La présence de la violoniste Elsa Grether, dont on a retrouvé avec bonheur le son pur et soyeux, serait à elle seule une bonne raison de courir écouter le jeune trio féminin. …Agapé en grec signifie plaisir, affection, passion vraie : exactement ce qu’on ressent ici. »
Christian Fruchart — © Dernières Nouvelles d’Alsace – 2009 Édition du Sam 21 mars 2009
« … Elle a alors convaincu le public comme elle m’avait convaincu moi-même de son réél talent, de l’implication profonde qu’elle met dans son jeu, très habité en même temps que parfaitement maîtrisé sur le plan technique .C’est ce que j’aime chez une telle artiste, l’alliance de la maîtrise et de la liberté au service d’une pensée ardente de la musique. » Alain Duault (2009)
« A une profonde musicalité, une rare hauteur de vue et une grande intelligence, Elsa Grether unit la technique la plus achevée et un professionnalisme sans faille. » Pascal Ianco, Le Chant du Monde (2009)
Régis Pasquier (2007)
« Miss Grether has a truly outstanding musical gift, a rare interpretative sensitivity and technical ability of the highest standard. With continued guidance, she will certainly be able to add greatly to the world of music.”
(traduction: « Melle Grether a un don musical vraiment hors standing, une rare sensibilité d’interprète et une habileté technique du plus haut standard. Avec un suivi continu, elle sera certainement capable d’ajouter grandement au monde de la musique ».)
“J’ai constaté avec grand plaisir une personnalité exceptionnelle, très musicale douée d’une grande nature expressive et techniquement de très haut niveau.” Pierre Amoyal (après le concours international de violon d’Indianapolis 1998)
« Elsa Grether is an exceptionally musical, communicative violinist. She plays with an extremely personal distinctive sound and excellent technical facility. Elsa responds passionately to music in every style. I definitely recommend her!” Donald Weilerstein (2004)
(traduction: Elsa Grether est une violoniste exceptionnellement musicale et communicative. Elle joue avec un son extrêmement personnel et distinct et une excellente facilité technique. Elsa répond passionnément à la musique de tous les styles.Je la recommande définitivement ! »)
“Elsa Grether is a brilliant musician. She has a rare lyrical tone quality and elegance in the phrasing. Her intuitive maturity is striking. I believe she has the potential to become one of the greatest artists of her generation.” Emile Naoumoff (2001)
(traduction: Elsa Grether est une brillante musicienne. Elle a un son d’une rare qualité lyrique et de l’élégance dans le phrasé. Sa maturité intuitive est étonnante. Je pense qu’elle a le potentiel de devenir l’une des plus grandes artistes de sa génération. »
Pro Musicis, La musique pour chacun de nous